Le peuple de Dieu, sortant d’un grand péril, reconnaît qu'il n'a pas été sauvé par sa force mais par la puissance miséricordieuse de son Dieu ; il retrace le danger auquel il a échappé.
Théodore de Bèze (1998) - Genève, 1551
1. Israël peut le dire maintenant :
Sans le Seigneur présent dans le danger,
Sans le Seigneur qui nous a protégés,
Quand tant de gens vinrent comme un torrent
Pour nous meurtrir et pour tout ravager.