Le prophète reconnaît que le plus grand bonheur qu'on peut avoir en ce monde, c'est d'être associé à la vie de l'Église de Dieu pour le servir et pour l'adorer. Étant donné qu'il traverse des circonstances dans lesquelles il est privé de cette joie, il prie pour la retrouver.
1. Seigneur de l’univers, mon Dieu,
Que tes demeures sont un lieu
Plus que tout autre désirable !
Mon cœur languit, mes sens ravis
Rêvent sans cesse à tes parvis
Où l’on te proclame Admirable ;
Mon cœur et ma chair, s’élevant,
Cherchent ta face, ô Dieu vivant.