Psaume 137. Assis le long des rives aquatiques

1. Assis le long des rives aquatiques
De Babylon’, pleurions mélancoliques,
Nous souvenant du pays de Sion ;
Et dans ces lieux de déportation
tant de fois en larmes nous fondîmes,
Aux saules verts nos harpes nous pendîmes.

Psaume 136. Louez, louez Dieu très haut

1. Louez, louez Dieu très haut,
Tout dans son œuvre est si beau,
Oui, tout dit, jour après jour :
Eternel est son amour !

Psaume 135. Louez Dieu, louez son nom

1. Louez Dieu, louez son nom !
Venez pour lui faire honneur,
Vous, serviteurs du Seigneur
Qui avez reçu ce don
D’être habitants au milieu
Des parvis de notre Dieu.

Psaume 134. Vous donc, serviteurs du Seigneur

1. Vous donc, serviteurs du Seigneur,
Qui la nuit même en son honneur
Etes restés dans sa maison,
Louez et bénissez son nom.

Psaume 133. Oh qu’il est doux, oh qu’il est agréable

1. Oh qu’il est doux, oh qu’il est agréable
De voir ici dans l’amour véritable
Des frères qui sont réunis !
Je pense alors à l’huile de grand prix
Que l’on répand sur le prêtre Aaron,
Sur sa tête en sainte onction.

Psaume 132. Veuille, Seigneur, te souvenir

1. Veuille, Seigneur, te souvenir
De David et de son tourment
Quand il te fit son grand serment ;
Au Dieu de Jacob, sans mentir
Il fit vœu solennellement.

Psaume 131. Seigneur, je n’ai pas le cœur fier

 1. Seigneur, je n’ai pas le cœur fier
Ni les regards portés trop haut ;
Je ne cherche rien de plus beau
Que d’être un homme qui te sert.

Psaume 130. Du fond de ma pensée

1. Du fond de ma pensée
Au fond de tous ennuis,
Ma voix s’est adressée
A Toi seul jours et nuits.
Entends ma voix plaintive,
Ecoute ton enfant
D’une oreille attentive,
Seigneur, il en est temps.

Psaume 129. Dès ma jeunesse on m’a livré l’assaut

1. Dès ma jeunesse on m’a livré l’assaut,
En vérité, Israël peut le dire,
Dès ma jeunesse on m’a fait mille maux,
Mais sans pouvoir me vaincre ou metruire.

Psaume 128. Heureux l’homme fidèle

1. Heureux l’homme fidèle
Qui sert Dieu volontiers,
Et suit le bon mole,
Marchant dans ses sentiers !
De ton travail, mon frère,
Tu vivras pleinement,
Et verras ton affaire
Marcher heureusement.