Le texte reproduit une partie du Psaumes 57 avec quelques variantes, puis la fin du Psaumes 60.
Théodore de Bèze (1998) - Genève, 1562
Je louerai ton nom merveilleux ;
C’est un si grand honneur pour moi
D’élever jusqu’ au ciel ma voix.
Allons, mon luth, réveille-toi,
Ma harpe, aussi, seconde-moi ;
Car c’est debout que je veux être
Dès que le jour vient à paraître.