David loue Dieu qui l’a secouru et conclut que seul est heureux celui qui se confie en Dieu. Il prédit l’abolition de son péché (comme il est exposé dans l’épître aux Hébreux, chapitre 10) et se consacre au service du Seigneur, certain d’être exaucé, afin de pouvoir le glorifier.
Théodore de Bèze (1998) – Genève, 1551
1. J’avais déjà patiemment attendu
Que Dieu montre sa volonté,
Il s’est tourné de mon côté.
A mes appels, Lui-même a répondu.
Et de la fosse obscure,
De la boue et l’ordure
D’un gouffre il m’a tiré ;
Mes pieds sont affermis,
Et les voilà remis
Sur un roc assuré.