Le prophète décrit la vanité, les bêtises des gens riches et puissants qui ont le cœur asservi à leurs richesses. Il console les pauvres dans leurs afflictions en les assurant d’un bonheur tellement plus grand et plus durable.
Prêtez l’oreille, ô mortels si divers,
Les plus petits comme les plus puissants,
Riches hautains et pauvres languissants ;
Ma bouche abonde en sages instructions
Qui sont le fruit de nos méditations.
Je tends l’oreille aux profondes maximes,
Et sur le luth j’explique des énigmes.