Accablé par la révolte d’Absalom, il invoque Dieu, reprend les princes d’Israël qui conspirent contre lui, les appelle à la repentance, et conclut que la confiance en Dieu lui donne le vrai bonheur. Clément Marot (1998) - Strasbourg, Genève, 1542 / Genève, 1551
1. Entends l’appel que je t’adresse,
Dieu de justice en qui j’ai foi ;
Toi qui me vois dans la détresse,
Libère-moi de l’étroitesse,
Sois indulgent, écoute-moi.
Jusqu’à quand, âmes inhumaines,
Viendrez-vous pour tout m’arracher ?
Vous aimez les manœuvres vaines,
Les mensonges qui nous surprennent ;
C’est donc cela que vous cherchez.