Acclamons en Lui le sauveur,
Celui qui prend notre défense.
Hâtons-nous de nous présenter
Devant sa face et de chanter
Sa gloire et sa magnificence.
2. Car cʼest le grand Dieu glorieux,
Grand Roi par dessus tous les dieux.
Il tient dans sa main notre sphère ;
Depuis les abîmes profonds
Jusquʼà la cime des hauts monts,
Il est maître de la terre.
3. A Lui seul la mer appartient,
Car il lʼa faite et la soutient ;
Il forma tout dans la nature.
Allez, tombons, inclinons-nous
Devant lʼEternel à genoux,
Pauvres humains, sa créature.
4. Il est notre Dieu tout-puissant,
Nous son peuple quʼil va gardant
Comme un troupeau sous sa conduite.
Aujourdʼhui, écoutant sa voix,
Gardez-lui toute votre foi,
Le coeur humain sʼendurcit vite.
5. Comme ce fut à Mériba
Dans le désert et à Massa,
(Dit le Seigneur), lorsque vos pères
Pendant si longtemps mʼont tenté,
Eprouvant toutes mes bontés
Sans que rien put les satisfaire.
6. Pendant quarante ans en effet
Leur génération mʼécoeurait,
Mʼobligeant à dire avec peine :
Voici donc un peuple insensé,
Il nʼa jamais voulu penser
Que cʼest mon amour qui le mène.
7. Les voyants toujours indécis
Et de plus en plus endurcis,
Je lʼai juré dans ma colère :
Ceux qui font voir un coeur si faux
Nʼentreront pas dans mon repos,
Dans le repos des coeurs sincères.
Il tient dans sa main notre sphère ;
Depuis les abîmes profonds
Jusquʼà la cime des hauts monts,
Il est maître de la terre.
3. A Lui seul la mer appartient,
Car il lʼa faite et la soutient ;
Il forma tout dans la nature.
Allez, tombons, inclinons-nous
Devant lʼEternel à genoux,
Pauvres humains, sa créature.
4. Il est notre Dieu tout-puissant,
Nous son peuple quʼil va gardant
Comme un troupeau sous sa conduite.
Aujourdʼhui, écoutant sa voix,
Gardez-lui toute votre foi,
Le coeur humain sʼendurcit vite.
5. Comme ce fut à Mériba
Dans le désert et à Massa,
(Dit le Seigneur), lorsque vos pères
Pendant si longtemps mʼont tenté,
Eprouvant toutes mes bontés
Sans que rien put les satisfaire.
6. Pendant quarante ans en effet
Leur génération mʼécoeurait,
Mʼobligeant à dire avec peine :
Voici donc un peuple insensé,
Il nʼa jamais voulu penser
Que cʼest mon amour qui le mène.
7. Les voyants toujours indécis
Et de plus en plus endurcis,
Je lʼai juré dans ma colère :
Ceux qui font voir un coeur si faux
Nʼentreront pas dans mon repos,
Dans le repos des coeurs sincères.
Psautier de Genève (1998)
Les Psaumes de David. Clément Marot. Adaptation en français actuel par Marc-François Gonin. ISBN 2-911069-29-3. Éditions VIDA. 1998. Reproduit avec autorisation.
