Pendant la grande persécution de Saül, David prie pour sa délivrance ; il met en avant son innocence, souhaite le royaume qui lui a été promis et la confusion de ses adversaires. Finalement, il prévoit que ceux-ci périront par leur propre glaive, et il en loue Dieu.Clément Marot (1998) - Strasbourg, Genève, 1542 / Genève, 1551
1. Mon Dieu, mon unique espérance,
J’attends de Toi la délivrance,
Sauve-moi des cruelles mains
De tant d’ennemis inhumains ;
De peur que leur chef ne m’attrape,
Qu’il ne m’arrête et qu’il ne frappe,
Comme un lion dans sa fureur,
Sans que je trouve un défenseur.