David, ayant échappé à Achis (1 Samuel 21), composa ce psaume dans lequel chaque verset correspond à une lettre de l’alphabet hébreu. Il témoigne ainsi de l’immense bonté de Dieu. Psaume de singulière consolation.
Théodore de Bèze (1998) – Genève, 1551
1. Je n’arrête jamais
De bénir le nom du Seigneur,
Ma voix s’élève en son honneur ;
Le temps que je vivrai
Je n’ai d’autre plaisir
Que de le voir glorifié,
Et tout bon cœur humilié
Pourra s’en réjouir.